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Est-il naïf aujourd’hui, voire déplacé, de revendiquer la capacité de la danse à exprimer, créer et transmettre des émotions ? Pour aborder cette question, nous avons rencontré des danseurs, et parlé avec eux de pièces d’esthétiques contrastées : Giselle de Coralli et Perrot (version de l’Opéra de Paris), L’après-midi d’un faune de Nijinski remonté par Dominique Brun, May B de Maguy Marin et Jérôme Bel de Jérôme Bel. Nous avons demandé aux danseurs comment ils envisageaient les émotions dans leur travail d’interprète sur ces œuvres.
sommaire du numéro
Transmettre des motivations
entretien avec Ghislaine Thesmar autour de Giselle
Autour de Giselle, une poétique de l’interprétation
sur la base d’entretiens avec Aurélie Dupont, Agnès Letestu, Clairemarie Osta et Laëtitia Pujol
L’expression des émotions, cadre idéologique des arts scéniques occidentaux
entretien avec Rafael Mandressi et Juan Ignacio Vallejos
Le danseur des passions selon Noverre
Juan Ignacio Vallejos
Laisser parler les signes
entretien avec Sophie Gérard autour de L’après-midi d’un faune
Traverser
Julie Salgues, autour de L’après-midi d’un faune
Composer des affects en danse
entretien avec Claudia Gabler et Isabelle Launay
Le risque de l’émotion
entretien avec Ulises Alvarez autour de May B
Ça n’en finit pas ?
Frédéric Pouillaude, autour de May B
Un état d’innocence
entretien avec Claire Haenni et Frédéric Seguette autour de Jérôme Bel